VIVISECTION ET EXPERIMENTATION SUR LES ANIMAUX - DEFINITIONS

Publié le par Jean Marc

Ces pratiques consistent à se servir de toutes les espèces d'animaux imaginables (dont la liste non exhaustive remplirait inutilement plusieurs pages de ce manifeste) en les soumettant aux pires tortures expérimentales pour des travaux de recherche dans les domaines les plus variés: chimie (tests de produits cosmétiques et d’entretien, de substances aussi diverses que nocives,…), pharmacie (médicaments,…), médecine (physiologie, pathologie, parasitologie, chirurgie, traumatologie, maladies transmissibles à l’homme,…), génétique, défense [tests d’armes classiques et N.B.C. (Nucléaires, Biologiques et Chimiques)] et également pour l’enseignement des «sciences de la vie»

Rappelons en outre que le terme «vivisection» («découper le vivant») ne concerne qu’une petite partie de l’expérimentation sur les animaux, les tests en tout genre et répétitifs à l’infini étant les plus gros consommateurs d’animaux réduits à l’état de «matériel biologique», et ce malgré la politique des 3R (Réduire le nombre d’animaux utilisés, Remplacer l’expérimentation sur les animaux par des méthodes substitutives et Raffiner l’expérimentation en réduisant au minimum les traumatismes et la douleur).

Quant à la directive européenne 86/609 de 1986, elle a sa propre définition de l'expérimentation sur les animaux, à savoir: «toute utilisation d’un animal à des fins expérimentales ou à d’autres fins scientifiques susceptible de causer à cet animal des douleurs, des souffrances, de l’angoisse…». Ne sont donc pas prises en compte les «méthodes les moins douloureuses acceptées par la pratique moderne (méthodes dites humaines) pour le sacrifice et le marquage des animaux». Sic!

Source:http://www.international-campaigns.org/smal/communiques_de_presse.htm

Publié dans Le Saviez - Vous

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